French Culture & Art

Thousand Word Project (Research), Lewiston High School, French Culture and Art, Emily Friedman

Realizing Aesthetics and Culture: French Art as a Lens

Summary

We can explore artworks in terms of both aesthetics and content. Works by French artists and relating to French society can be used as a lens through which to learn about the practical aspects of creating art, and to discover the ways in which art affects and is effect by the time and place in which it is created.

Objectives

– Students will increase their knowledge of both French and world cultural history.

– Students will learn French art vocabulary.

– Students will learn to identify and discuss aesthetic elements of artwork, such as composition, form, and color.

– Students will learn about the relationship between art and the cultural context in which it was created.

– Students will express their observation through writing and speaking exercises in French.

Background

Christian Boltanski, L’Ecole de Grosse Hamburgerstrasse, 1939. Photogravure. 25 in. x 19 in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.
Boltanski, un français né 1944, est photographe, sculpteur, peintre, et artiste d’installation. Boltanski approprie les objets existant pour son art, et s’intéresse dans la capacité des objets éphémères, comme des photos, pour accentuer la qualité éphémère de la vie. Il a approprié cette image des jeunes filles juives, qui seraient tuées par les Nazis. Les sourires heureux et innocents de ces filles opposent distinctement leurs destins.

Gakutei, Oiran avec pipe. Estampe sur bois, 8 ½ in x 7 3/8 in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.

Ukiyo-e est la technique japonaise traditionnelle de faire des estampes par la transmission d’un dessein d’une bille du bois à du papier avec de l’encre. Les grands ateliers d’artisans habiles produisaient les estampes dans la Période d’Edo de 1600-1868. Ukiyo-e, un genre rempli de desseins du « monde flotter, » souvent combinent les idées Bouddhistes d’éphémèralité avec les coutumes de la connunautés d’amusements fermées comme Beverley Hills et Hollywood. Les estampes sont arrivées à l’Europe à la fin du IXe siècle comme papier pour protéger les objets du commerce. Ukiyo-e ont fasciné les Européens, notamment les peintres impressionnistes comme Claude Monet, pour leurs rapprochement différent de l’espace, du formulaire, et du formulaire dans l’espace. Les artistes européens ont peint l’espace en perspective, mais le but des estampes japonaises, comme l’Oiran avec pipe, n’était pas avoir un grand sens de la profondeur, encore sont dans l’harmonie visuelle.

Paul Gauguin, Maruru. Gravure sur bois, 10 7/8 in x 16 ¾ in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.

Gauguin (1848-1903) est allé au Tahiti à la fin du IXe siècle pour trouver “le primitif”. Les idées de Gauguin sur la vie française polynésienne révèlent les idées européennes sur la nature non civilisée d’autres cultures. Les figures dans son œuvre de 1890 sont larges et comme des blocs, et sont typiques de la représentation européenne des indigènes.

Considérer l’argent et temps pour loisir que Gauguin avait pour adonner à la création d’art. Au Tahiti, le coût de vivre n’était pas comme élevé qu’il y était au Paris. Donc, Gauguin concentrait sur son art et expérimentait avec des mediums outres que la peinture, comme la gravure sur bois.

Paul Gauguin, Auti Te Pape. Gravure sur bois, 10 7/8 x 16 ¾ in. Bates College Museum of Art.
Cette gravure, probablement des années 1890, est une autre œuvre du Tahiti. Gauguin dit que son but « était de suggérer un fouillis de luxuriant croissance naturel, un soleil tropique ce que rend toutes les choses autour d’il incandescent. » Cette attention à l’atmosphère est évidente dans Auti Te Pape. Aussi, Gauguin place côte à côte la vie calme sur la terre et le mouvement de la mer. De plus, les surfaces grandes en noir et en blanc ajoutent à la dualité d’œuvre.

Lucien Gautier, Le Pont Neuf. Gravure à l’eau forte, 9 3/8 x 13 ½ in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.
Gautier (1850-1925) était connu pour ses gravures à l’eau forte de Paris et des autres villes françaises, mais il faisait les portraits des autres villes européennes. Cette œuvre de 1919 dépeint Paris au début du XXce siècle, et donc c’est un regard dans la vie dans la ville dans cette époque.

Charlie Hewitt, Portland Tumble. Point sec, 36 x 72 in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.
Charlie Hewitt, Portland Tumble. Point sec et encre, 36 x 72 in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.
Charlie Hewitt, Portland Tumble. Point sec, 36 x 72 in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.
Hewitt est né en 1946 à Lewiston, et son art adresse des sujets important aux cols-bleus dans le Maine, comme la famille et la religion. Son art, plein de références symboliques, réfléchit aussi son intérêt dans la littérature, le théâtre, l’historie d’art, et la mythologie. Portland Tumble (1994) est plein du symbolisme catholique, comme le jeux d’argent, qu’a trait à la Passion, et la charpenterie, qu’a trait à Christ comme le fils d’un charpentier.

Pour analyser les aspects symboliques d’une oeuvre, c’est important de considérer le médium artistique et la technique. Le médium est le point sec, une méthode accomplie en marquant un morceau de métal avec un outil d’acier, et encore transfère le dessein dans l’encre. Les deux premières versions du Portland Tumble prouvent qu’Hewitt a imprimé pour accéder son progrès vers une image complexe et finale. Hewitt est connu pour son style de travail énergique ; le détail du Portland Tumble est un testament à cette vigueur, autant que nous pouvons imaginer qu’il applique plus et plus de lignes sur ce grand oeuvre.

Charles Emile Jacque, Paysage avec Mouton. Huile sur plaquer, 10 ½ x 16 in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.
Jacque (1813-1894) était un membre de l’École Barbizon. L’École Barbizon (c. 1830-1870) était un groupe de peintres français qui fréquentait au village du Barbizon, France près de la Forêt Fontainebleau. Ces peintres du paysage s’intéressaient dans le naturalisme, et étaient affectés par les peintures des paysages du peintre anglais John Constable (1776-1837) et par les peintres néerlandais du XVIIe siècle, comme Jacob van Ruisdael (1628-1682). Les peintres de Barbizon s’intéressaient dans l’idée de capturer le sens d’être dans un paysage particulier, et pour faire ça, ils peignaient en plein-air. Quelques aspects de Paysage avec Mouton, comme les nuages orageux, apparaissent vigoureux et réels.

Jean Marc Nattier, Mme Adélaïde. Huile sur toile, 32 1/8 x 25 ¾ in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.
Nattier (1685-1766) est né à Paris, et après avoir complété quelques dessins des peintures du peintre néerlandais Peter Paul Rubens (1577-1640) et quelques peintures originales. Nattier travaillait comme un peintre du portrait pour l’aristocratie française et pour la cour de Louis XV (1710-1774). Mme. Adélaïde était Marie Adélaïde (1732-1808), la fille de Louis XV et la tante de Louis XVI. Les vêtements luxueux de Marie Adélaïde révèlent son haut statut dans la cour. Un contemporain qui voyait cette peinture reconnaîtrait que le tissu et la décoration de son habillement étaient coûteux, et donc devinerait qu’elle avait une position importante dans la société. Ses vêtements élégants et l’intérêt de la monarchie française dans les commissions des portraits sont des testaments de la richesse de la monarchie du XVIIIe siècle.

Pablo Picasso, Sans Titre. Couleur Pochoir, 11 3/8 x 14 ½ in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.
Cette oeuvre de 1922 fait partie de l’expérimentation de Picasso (1881-1973) avec la couleur pochoir, une technique du stencil très difficile. L’abstraction est un style favorisé par Picasso ; il abstrayait souvent des caractéristiques de la visage ou des objets familiers.

Pablo Picasso, Le Picador II, de la livre A Los Toros, Couleur Lithographie, 9 5/8 x 12 3/8 in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.
Dans cette œuvre de 1961, plus proche de la fin de sa carrière, Picasso joue avec l’abstraction sur un niveau différent. Ici, il dessine deux hommes et un cheval d’une manière assez réaliste, mais il utilise vingt-quatre couleurs et noir pour créer un type d’abstraction; quand on les regarde pour la première fois, les figures ne sont pas immédiatement évidentes.

George Rouault, Illustration Sans Titre pour La Réincarnation de Père Ubu. Couleur Aquatinte, 19 ¾ x 12 ¾ in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.
Rouault (1871-1958) commençait sa carrière formelle en 1890 á l’Ecole des Beaux-Arts, et, au début était associé en partie avec le mouvement Fauviste. Ce mouvement accentuait la couleur hardie et l’expressivité au-delà d’une représentation littérale. Rouault était très religieux et son oeuvre, en retenant les principes de Fauvisme, contenait toujours un ton de la réflexion spirituelle.

Père Ubu était un caractère central de la pièce de l’écrivain français Alfred Jarry (1873-1907), et représentait l’homme moderne comme “l’antihéros”. C’est possible que Rouault s’intéressait dans cette conception de l’homme moderne comme improductif et des mauvais moraux, et le Christ comme l’homme définitif d’altruisme et de moralité. De plus, cette œuvre est belle. Nous voyons que Rouault aime des coups hardis et des lignes expressives. La composition est aussi remarquable parce que l’arbre semble refléter le geste de l’homme dessous.

George Rouault, Cirque de l’Etoile. Gravure à l’eau forte, 17 ¼ x 13 ¼ in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.
Les clowns étaient un sujet préféré de Rouault depuis à peu près l’année 1904. Beaucoup de peintres français auparavant, comme Manet, Daumier, Toulouse-Lautrec et Degas, dépeignaient les clowns, et aussi quelques contemporains de Rouault – Picasso, Matisse, et Léger – peignaient le sujet. Parce que le clown essaye d’effacer la souffrance et la tristesse avec le rire, pour Rouault, il est abouché avec ces émotions sombres. Le clown est aussi une représentation du Christ dans l’oeuvre de Rouault, un chiffre que Rouault dépeignait comme introspectif, comme dans cette gravure de 1935 à l’eau forte.

Pierre Étienne Théodore Rousseau, Souvenir du Bois D’Arcy. Huile sur plaquer, 11 5/8 x 18 ½ in. Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine.

Rousseau (1812-1867), comme Jacque, était un peintre de Barbizon. Il avait apparemment à peu près 50 estampes des peintures néerlandaises, probablement beaucoup de peintures de paysages, un testament de l’influence du paysage néerlandais sur l’Ecole de Barbizon. Pendant que le contenu de la peinture est intéressant, il y a des leçons de l’histoire dans Souvenir du Bois D’Arcy. Une étiquette sur le dos de la peinture raconte qu’il était au Museum de Fine Arts à Boston en 1878, prêtée par son propriétaire américain. En 1878, seulement une décade après la mort de Rousseau, la peinture traversait l’océan Atlantique, en relevant le sujet de l’influence entre les cultures différentes.

Materials

Images (see slide list), LCD projector, Writing paper, Drawing paper, Drawing implements

Introduction

Introduce the lesson by looking at the sixteen artworks and reading aloud the background paragraphs.

Comparative Discussion

Choose pairs of images and discuss the ways in which they are similar and different in terms of media, technique, aesthetics, and content. Examples of pairs include:

  • Jacque’s Paysage avec Mouton and Rousseau’s Souvenir du Bois D’Arcy
  • Nattier’s Mme Adélaïde and Rouault Cirque de l’Etoile

Choose one work and provide students with drawing paper and drawing implements, and instruct them to interpret the artwork in their own terms or create a similar drawing of the same genre, such a landscape or portraiture. At the end of the lesson, bring these activities together by having the students speak briefly about their own drawings.

Artists on Art

Read and discuss passages from writings by artists. Suggested readings:

  • Gauguin, Paul. Avant et Après, avec les vignt-sept dessins du manuscrit original. Paris: G. Crès et Cie, 1923. (Available at Bates College Library)
  • Segalen, Victor. Lettres de Paul Gauguin á Georges-Daniel de Monfreid. Paris: G. Cré, 1918.
  • Caizergues, Pierre et Hélène Seckel. Picasso, Apollinaire: Correspondance. Paris: Gallimard, 1992.

Written Piece or Presentation

Each student chooses one of the sixteen works, and based on teacher’s preference, everyone writes an essay or creates a presentation about his or her selected work.These essays or presentations will include identification and interpretation of the piece’s aesthetic qualities and a discussion its content, and how that content relates to cultural issues.

Maine Learning Results

World Languages: Communication; Cultures; Connections

Visual Arts: Disciplinary Literacy; Aesthetics and Criticism

Assessment

Teacher’s notes on class discussions, Written piece or presentation

Footnotes:
[1] Yann Le Pichon, Gauguin: Life, Art, Inspiration (New York: H.N. Abrams, 1987.).
[2]William Low, introduction to Scrape, Cut, Gouge, Bite, Print: The Graphic Work of Charlie Hewitt, 1976-2006 (Collection Project, Bates College Museum of Art, Lewiston, Maine), 10.
[3] George Rouault in Oxford Art Online, http://www.oxfordartonline.com/subscriber/article/grove/art/T074150?q=rouault&hbutton_search.x=0&hbutton_search.y=0&hbutton_search=search&source=oao_gao&source=oao_t118&source=oao_t234&source=oao_t4&search=quick&pos=1&_start=1#firsthit (accessed March 30, 2009).
[4] Ubi Roi in Wikipedia, http://en.wikipedia.org/wiki/Ubu_Roi (accessed March 30, 2009).
[5]Pierre Étienne Théodore Rousseau in Oxford Art Online, biographyhttp://www.oxfordartonline.com/subscriber/article/grove/art/T074213?q=rousseau
rousseau&hbutton_search.x=0&hbutton_search.y=0&hbutton_search=search&source=oao_gao&source=oao_t118&source=oao_t234&source=oao_t4&search=quick&pos=5&_start=1#firsthit (Accessed March 30, 2009).